Prologue 2 : Forlan Sausen

L'air de la taverne était nauséabond. Trop de différent parfums avait emplie l'air d'odeurs incompatibles.

La taverne était bondé comme à l'habitude. Il fallait faire preuve d'adresse pour contourner les différents groupe assis aux tables. Mais il fallait être vraiment chanceux pour se trouver une place libre.

L'ambiance variant entre les différentes section de l'auberge. Beaucoup était à l'hilarité s'exclamant et riant toujours plus bruyamment. D'autre somnolait devant des pintes vides qui s'entassaient sur les tables.

Parmi ceux qui ne touchais mot, un vieil homme était assis en retrait et fixant avec attention la porte de l'auberge.

L'homme faillit reverser sa chope sur la table lorsque la porte s'ouvrit en laissant passer deux silhouette qui se cherchait une place.

Forlan leur fit signe de la main de s'approcher. Lorsque le vieil homme reconnut Shaolan un large sourire vint illuminer son visage aussi non morne et triste. Forlan s'exclama:

-Ça alors... Je m'attendais à ce qu'il m'envoyent un de leurs meilleurs hommes mais pas à toi... Sacré fripouille! Je te croyais mort! Combien d'années que je ne t'ai pas revu?! Et qui est cette gamine?

Shaolan entendit une vois asser familière et ce retourna. Il aperçu aussitôt une de s'est extrêmement vielle connaissance (mais moins que lui), d'un air abruti, qui le fixait.

Disons qu'il aurait espérer mieux. Comme un mercenaire, ou un jeune guerrier en pleine forme. Pas un vieux têtu et grossi par le temps.

-hmm, disons que ce doit être le destin qui nous fassent nous rencontrer. Dit-il a voix très basse avant de lui répondre.

-Oh, bonjour Sir Forlan Sausen, c'est une drôle de coïncidence de te rencontrer dans un tel endroit, mais je crois que tu pourrais m'être utile, asseyons-nous. Entama-t-il d'un voix forte.

Shaolan s'assit aussitôt, et invita son ami à faire de même avant de lui faire sa demande.

-Mon ami, j'ai besoin de toi pour une grande aventure. Tu me connais asser bien pour savoir que je fait toujours dans les phrases courtes et commencerais-je par te dire que la survit du monde libre en dépend. Nous devons nous rendre au temple situé au sommet du Mont Écarlate. Ce sera très dangereux, et je ne peux pas te confirmer que nous reviendrons en vie, mais tu es mon dernier espoir... (tous les autres aventurier aillant refuser d'office). Nous aideras-tu dans cette quête ? Dit-t-il les yeux brillants d'espoirs.

Forlan regarda son ami d'un air sévère tandis que son sourire s'effaçais de son visage. Il affichais maintenant il mine grave et sérieuse. Il répondit d'une voix lente et catégorique:

-Minute papillon! Tu sais très bien que les aventures c'est finis pour moi... J'ai raccroché mon épée à son fourreau pour ne plus JAMAIS la sortir à nouveau... Et puis... Et puis... Qui est cette enfant qui me dévisage et que signifient ces mauvais présage de fin du monde?!

Edie baissa les yeux, et fit une moue gêné mine de rien. Son visage était désormais rose.

-Cette jeune fille se nomme Edie. Elle est mon apprentie. Rétorqua Shaolan de son ton habituel et calme.

-Ce sera tout ce que tu sauras et tu devras t'en contenter. Pour le reste, je ne sais pas moi-même, c'est quelqu'un qui désire que nous allions là-bas et j'aurais eu besoin d'aide. Mais puisque tu ne veux pas je ne t'y oblige en aucun cas. Et sur ce, je dois te laisser, car nous avons beaucoup de route à faire. Prend bien soin de toi mon ami.

Puis dans un mouvement lent et... lent, Shaolan se leva de table et quitta l'unique pièce. Edie regarda l'homme nommer Forlen Sausen une dernière fois indirectement, puis couru pour rejoindre son maître qui l'attendait dehors.

Tout deux prirent le chemin de la sortie nord parmi un foule encore dense de commerçant et d'acheteur.

Après plusieurs minutes d'hésitation, pesant le pour et le contre, le visage de Forlan se crispa. Voilà que durant un banal avant-midi on lui offrait une chance de partir pour une aventure, ou du moins une quête qui l'aiderait enfin à tasser son horrible passé derrière lui...

Le vieil homme se passa une main sur le visage avant de se lever promptement et de courir vers la porte de l'auberge... Une chance en or ne se reproduirais probablement plus jamais... Forlan courait après son souffle, tassait et projetais les ivrognes de sa route en les envoyant dormir au sol. La salle paraissait soudainement plus vaste...

Après avoir franchi la porte, le regard perdu et éperdu du vieillard retrouva ses repères et distingua aisément les formes qui marchait au loin. Après une course haletante Forlan alla vers eux:

-ATTENDEZ! ATTENDEZ MOI! J'AI CHANGÉ D'AVIS!